Data Privacy Day : la problématique de la protection des données personnelles mise sur la table





data-privacy-day-la-problematique-de-la-protection-des-donnees-personnelles-mise-sur-la-table

Le commissaire Dougba Marcellin (à gauche), Dr Coulibaly Ibrahim ( au centre) et Régis Zagbadi, les trois panélistes



La première Data Privacy Day de la société de téléphonie mobile Orange Côte d’Ivoire a été l'occasion de sensibiliser sur la protection des données personnelles. Le panel externe, qui s'est tenu mardi 10 décembre 2024 au siège de l'entreprise à la Riviera-Golf, avait pour thème : "La transformation numérique : innover tout en protégeant les données personnelles".

Régis Zagbadi, directeur d'IZAQA et expert en risques, protection des données et conformité, a souligné l’importance de l’équilibre entre innovation et protection des données. Le commissaire Dougba Marcellin, représentant la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC), a présenté les infractions liées à l’usage de plus en plus accru des TIC. Le modérateur, Dr Coulibaly Ibrahim, a exploré les enjeux de la transformation numérique.

Les échanges qui ont suivi ont permis aux participants de mieux appréhender la question et d’échanger leurs expériences. Cet événement a également été le cadre idéal pour initier des discussions constructives sur l'importance de la protection des données personnelles et sur les responsabilités de chaque partie prenante. D'autant plus que cette journée s'est déroulée en présence d'acteurs majeurs du secteur : le ministère de la Transition numérique et de la Digitalisation à travers sa direction de la Cybersécurité, l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI), la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), ainsi que des étudiants et des journalistes.

 

Modeste KONÉ

En lecture en ce moment

Covid-19 : l’épouse du député-maire d’Adiaké fait un important don aux femmes de la commune et de la sous-préfecture 

Interview-Danielle Wazi Oladélé (présidente de L'ONG WAM) : "Les victimes refusent souvent de collaborer"